Le surlendemain matin, mademoiselle Mérof était à peine assise devant le piano, qui sous ses mains délicates subissait tous les jours quelques heures de tortures, lorsque son amie Véra en tra d'un air triomphant. Après avoir échangé nombre de caresses entremêlées de taquineries amicales, les jeunes filles s'assirent sur une causeuse, loin des porte