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Tout dormait chez les Labarou.
La nuit, faiblement éclairée par un mince croissant de lune, était sonore,-si l'on peut employer ces deux mots pour rendre le grand silence de la nature endormie, traversé seulement par le monotone mugissement des cataractes.
Deux heures venaient de sonner.
La fenêtre d'une sorte d'appentis, adossé au mur d'a