Comment personne ne s'aper?ut-il, quand je rentrai à la maison, que j'avais subitement changé et grandi? J'en fus presque scandalisé.
-Te voilà, toi! constata mon père qui commen?ait à se méfier de mes absences.
Et tante Dine me poursuivit pour m'obliger à revêtir un autre veston d'un usage plus évident. J'avais enfilé rapidement le plus beau