Vers le milieu des Heures Silencieuses, qui forment les nuits des Vril-ya, je fus réveillé du sommeil agité auquel je venais seulement de m'abandonner, par une main posée sur mon épaule. Je tressaillis; Zee était debout à mes c?tés.
-Chut!-dit-elle à voix basse,-que personne ne nous entende. Penses-tu que j'aie cessé de veiller sur toi parce que