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En revenant, vers la fin du mois de juin 1841, de l'un de mes voyages d'Italie, je trouvai, comme d'habitude, une masse de lettres qui m'attendaient.
En général, et pour l'édification de ceux qui m'écrivent, j'avouerai qu'en pareil cas le dépouillement est bient?t fait.
Les lettres dont je reconnais l'écriture pour venir d'une main amie sont